Tes collègues étaient plus que des collègues. Nombreux, nous nous étions rassemblés pour dire au revoir à notre ami. Toi qui avait su, par ta tendresse, ta douceur, ton humour et ta présence, accompagner nos journées d'un sourire sans faille. Un grand gaillard, porté dans nos cœurs. Parti trop tôt, tant tu amenais ta part de bonheur dans nos vies. Tes blagues potaches, tes crises de rires, l'amour inconditionnel que tu portais à ton fils et que tu étendais à tes proches, ta répartie et ta nonchalance feinte vont nous manquer.
Quand tu as disparu de ma vue, enfermé dans cette boîte, malgré mes efforts de retenue, je n'ai pas su tenir mes larmes. Tu vas nous manquer à tous. A moi, particulièrement pour ces instants de fous rires partagés, ces moments musicaux qu'on appréciait autour d'une belle blonde, pour ta présence qui nous faisait comprendre qu'on était presque une famille. Tes amis, ta famille.
Nous étions là, aujourd'hui, pour te dire adieu.
J'aurais souhaité te l'écrire à la façon de Cabrel, que tu adorais. Je n'en ai pas le talent mais crois-moi, où que tu sois, ces mots son sincères. Aujourd'hui, l'ami, je te dis adieu.
Adieu Roland.
Etant passé par là y a pas très longtemps, j'ai encore bien vif la douleur qui doit être la tienne ce soir...
RépondreSupprimerJe te souhaite juste bon courage, même si c'est difficile...
Amicalement...
Merci.
SupprimerChienne de vie !
RépondreSupprimerAmitiés
62ans, imagine... un mec formidable.
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