Le lundi au soleil
C'est une chose qu'on aura jamais
Chaque fois c'est pareil
C'est quand on est derrière les carreaux
Quand on travaille que le ciel est...
J'arrête là. C'est faux. On est lundi et il fait gris. Depuis trois mois le temps est pourri. D'habitude, à cette époque de l'année je suis déjà allé trois fois à la mer. Le ciel déconne, mec. Grave.
Samedi on espérait. Il a fait beau le matin, ça tombait bien on devait aller sur Arras pour commander notre poêle pour l'hiver prochain. Si tant est qu'on sorte de l'hiver précédent. Et arrivé au midi, ça n'a pas loupé, l'orage est arrivé et il n'a plus fait que pleuvoir. Découragés nous nous sommes réfugiés à la maison pour avancer dans les peintures. Bonne nouvelle, le coin cuisine est fait, il ne reste qu'à poser les meubles.
Dimanche, devinez quoi, c'est la pluie qui nous a réveillé. Des cordes. Un torrent. Le déluge. A se demander si on n'était pas plutôt à la Toussaint. Car en plus il fait à peine 20 degrés. Alors, Marge a profité de l'ambiance pour faire les finitions peinture. Moi j'ai fait mes papiers. Et vers 19h00, ce con de soleil s'est pointé. Il a surement passé sa journée dans le Sud...
Ce matin, il fait gris. Ça essaie de percer. Et j'ai dans la tête cette chanson de Claude François, qui, c'est sûr, ne travaillait pas à Météo France. Le con.
Ouais. C'est morose.
RépondreSupprimer"Ce matin, il fait gris. Ça essaie de percer."
RépondreSupprimerCe qu'il y a de certain, en plus du fait que Claude François ne travaillait pas à la météo, c'est que la pluie a bel et bien percé les nuages.
Une journée à classer dans le dossier : "Je n'aurai pas dû me lever ce matin."
Je confirme, cet idiot de soleil est chez nous, même qu'on en a marre d'arroser!
RépondreSupprimerPardon de retourner le couteau dans la plaie, courage !!!