Onglets

mercredi 26 décembre 2012

Devinez ce qu'on a mangé à Noël ?!!

Traditionnellement, je publie des photos des plats concotés par mes parents à l'occasion de Noël. Cette année, hélas, les clichés ne sont pas fameux et retranscrivent mal la qualité exemplaire de ce dîner presque parfait. Et si je tape un petit billet là-dessus, c'est qu'après l'apéritif et ses feuilletés maison délicieux, après l'entrée : mousse de foie gras, tranche de foie gras et de Lucullus de Valenciennes, toasts et confits divers... On a eu droit à un plat de résistance plus qu'original !
Accompagné d'un petit gratin de topinambour à la muscade, d'un fagot d'asperges, d'une tranche de mangue et d'une julienne de légumes, la viande la plus originale que j'ai jamais mangé. Déjà l'an passé, du zèbre, c'était fort... Bah là !
Un morceau de viande blanche au curry...
 
Du...
 
Du...
 
Du crocodile !
 
Promis, juré. Et c'était excellent!

lundi 17 décembre 2012

Köln

Après avoir traversé la région et le pays voisin, nous avons atteint l'Allemagne, 400 km plus loin. Ce week-end, il était sujet d'aller au marché de Noël de Köln (Cologne), où nous n'avons pas bu que de l'eau. Je ne vous raconterai pas les détails, je vais pas vous ennuyer avec ça, et on n'est pas allé là-bas en vrais touristes de toute façon. Je posterai quelques photos sur l'autre blog ce soir. J'en retiendrai:


Une ville immense, au centre de laquelle passe le Rhin, dominé par l'imposante et intemporelle Cathédrale.
La gentillesse et l'amabilité des Allemands. Plus étonnant, leur facilité à venir vers vous, et leur respect des règles établies.
La foule, nombreuse pour l'occasion, qui visitait aussi les 7 marchés de Noël disséminés dans le centre ville.
Le très très grand marché de Noël du Dom, et les nombreuses échoppes de bouffe (Flammeküche, Würst (miam), tartes et ribs...)
La bière (de piètre qualité) mais pas chère, et tout le système de consigne/recyclage des bouteilles et autres plastiques, écologique et créateur d'emploi, qu'on devrait copier en France immédiatement.
Mon allemand, très, trop rouillé (pour ma défense, c'était ma LV2)

Plus globalement, Köln est une ville qui bouge où il y a beaucoup beaucoup de choses à voir et à faire. Côté tarifs, c'est très loin d'être déraisonnable (la pinte de bière épaisse est à 3,60€)! Seule la distance pourrait dissuader. On y retournera plutôt pour deux jours. Une autre fois.

jeudi 13 décembre 2012

Rencontre en hall de gare

 Hier soir, attendant Marge à la gare d'Arras avant d'aller finir mes cadeaux de Noël, je me suis posé dans un coin pour observer. J'adore me faire invisible, regarder la nature et le comportement humain. Constater irrémédiablement,t les jeunes se groupent et pourtant, s'isolent immédiatement dans leurs téléphones portables. Sociologiquement, c'est passionnant.
Et hier, quelqu'un m'a remarqué. Une jeune fille est passée près de moi, s'est retournée. Une fois. Puis une autre, et là nos regards se sont croisés... Ces yeux... Je la connaissais. J'en étais sur... et...
Pinaise, c'était Virginie !

Je vous ai jamais parlé de Virginie, je crois. Ça date d'il y a bientôt 10 ans !

Pour faire bref, j'ai, comme pas mal d'entre nous, dû chercher un boulot pendant mes études. Et j'ai été retenu pour devenir surveillant, dans un lycée à Béthune. Un nouvel environnement où les élèves étaient parfois plus vieux que moi, c'est dire. Et là j'ai rencontré une équipe de surveillants, déjà en place, qui m'a fait un accueil merveilleux. Il y avait Michael, Dorothée... et Virginie. Le courant est passé très vite entre nous. A l'époque, elle devait se marier. Désormais, elle est maman de trois enfants. Le temps passe.

Avant la fin d'année scolaire, j'ai trouvé du travail ailleurs, et arrêté mes études. Non sans regretter et penser à eux bien souvent, tant toute cette année à été riche. Et là, au détour d'un hall de gare, alors que je me rappelais ces bons moments il y a encore quelques jours – et cette peluche que j'avais déposé, en secret, chez elle lorsque j'avais appris qu'elle était une nouvelle fois maman - c'est bien Virginie que je croisais là.

C'est émouvant quand on y pense. Nous sommes restés là à échanger, parler du passé, du devenir. Et ça fait du bien.

Désormais, elle travaille dans un tout autre domaine que celui auquel elle se pensait destinée. Un domaine avec lequel, dans le cadre de mon propre job, je pourrais avoir à la contacter.

Ce qui est bien.

lundi 8 octobre 2012

La petite attention dans la boîte aux lettres

En ouvrant la boite aux lettres hier, c'est une jolie surprise qui nous attendait: une enveloppe contenant des photos et un petit mot personnalisé, remerciements de cadeaux de naissance que nous avions fait pour l'arrivée parmi nous de la fille de nos amis. Elle est importante, cette petite fille. Elle est la première de notre groupe de trentenaires, elle symbolise beaucoup de choses et on l'adore, même si on ne la voit pas souvent. Heureusement, pour ça, Facebook permet de voir quelques photos, au point qu'elle nous est familière même si la distance et les tracas quotidiens nous empêchent de nous voir plus.

Alors j'avais envie de consacrer un petit billet que j'espère immortel par la grâce de Google, juste pour remercier nos amis de cette petite attention qui nous va droit au cœur. Merci !

dimanche 7 octobre 2012

Pendons la crémaillère !

Ce dimanche fut l'occasion d'arroser la maison fraîchement bâtie. Nous avions réunis la famille, préparé (trop) de bouffe et (trop) de bouteilles. Un buffet froid, certes, mais copieux et une après-midi autour de la table pour une jolie pendaison de crémaillère.
Evidemment, dites aux gens de venir les mains vides et les voilà qui se pointent avec des cadeaux.
Grrrr...
Merci !

Une maison, des bières de la région, et ...

Trois bordeaux d'une bonne année, en provenance du caviste !
Une boite à clé pour l'entrée, des assortiments aux saveurs étonnantes (fraise-menthe, miam!), des fleurs... et une boîte


Boîte qui contient, rien de moins, qu'un bordeaux datant de mon année de naissance ! Rare ! Quelle surprise ! (Ce caviste me surprendra toujours !)


mardi 2 octobre 2012

Je suis de ceux... qui vont chez le médecin de garde, la pharmacie de garde, et tout ça...

Habiter à la campagne ça veut bien souvent dire faire des kilomètres pour certains services. En l'occurrence, je suis rentré du boulot de bonne heure pour aller chercher Marge: celle-ci était restée alitée, fatiguée, patraque et fiévreuse. Mais il fallait se bouger, nous avions rendez-vous chez l'ophtalmo, et comme partout, celui-ci était pris depuis plus d'un an.

Une aventure digne d'un post chez Hiéléna, d'où le titre.

J'ai donc trainé ma compagne chez le spécialiste.

On a une astuce avec le zyeutiste, c'est d'appeler environ une heure et demi avant le rendez-vous et demander à la secrétaire combien le médecin a de retard. « Vous pouvez arriver une heure plus tard », m'a t'elle répondu, et du coup, nous sommes arrivés à 18h pour notre rendez-vous de 17h. On n'a pas attendu et on est passé presque de suite.

La corvée effectuée, nous partions à la recherche d'un médecin qui ferait des consultations libres, pour examiner Marge. Une heure à tourner dans Arras. Pour rien: soit le cabinet était fermé, soit il ne prenait que sur rendez-vous. Or, un rendez-vous de dernière minute à 19h, c'est pas la peine d'essayer.

Épuisés, nous rentrons chez nous. Vingt minutes de route.

A 20h, j'appelle le médecin de garde, et la plate-forme de soutien m'oriente vers le médecin du village, qui n'est pas de garde mais qui accepte de se déplacer au cabinet. Pas pour faire caca. N'empêche, à 20h45, Marge est auscultée, elle arrive à peine à répondre aux questions du docteur. D'un côté, elle a la gorge gonflée par une angine monstrueuse. De l'autre, elle est obnubilée par une immense araignée pendue au plafond. Beurk.

Et ce n'est pas fini.

En route vers la pharmacie de garde, 15 km plus loin.

Nous y avons passé près de 20 minutes pour trois boites de cachets... La pharmacienne n'arrivait pas à lire l'écriture du médecin, elle a donc du appeler le service de garde qui l'a orientée vers le médecin du village qui, lui-même, ne se souvenait déjà plus de la prescription !!!


Comprenez, c'est usé que nous sommes tous les deux rentrés pour nous coucher. Alors ne vous attendez pas à un long billet aujourd'hui ^_^

lundi 1 octobre 2012

Foire aux vins 2012

Des stands dégustation...

Un buffet de grande qualité, dévalisé par les goinfres

Du stock en self service

Mais des vins plus chers que les années précédentes

Un caddie à plus de 1000 euros... et ce n'est pas le mien !

mercredi 26 septembre 2012

Sac à vin !

Ce midi je suis passé en coup de vent chez Leclerc pour déposer ma commande de vins. Comme expliqué là, je la donne en avance pour être sur de tout avoir. Cette année, mon choix était orienté: je voulais des vins du sud. J'ai donc privilégié les Côtes du Rhône et quelques appellations du sud-sud ouest.

Arrivé à l'accueil, j'en ai profité pour demander à l'hôtesse pourquoi le carton d'invitation ne permettait pas d'emmener un invité ou deux; mais elle était dans l'ignorance... tout comme sur la raison pour laquelle mon changement d'adresse n'avait pas été pris en compte.

Dans quelques jours j'irais déguster quelques crus choisis, dont certains parmi ma sélection. Parfois, une bouteille se révèle être à mon goût, je la rajoute donc à ma liste et je l'embarque le soir même.

Je jette ici un autre constat: globalement, le prix du vin a augmenté. Il y a parfois même des petits noms qui coutent cher – quelquefois, à raison – et en me contentant d'un budget que j'estime déjà important, j'ai souvent l'impression d'avoir un caddie peu chargé.

En revanche, ma cave commence à être bien remplie, il faudra que je pense à référencer mes bouteilles. A mettre dans un coin celles de garde. Et à consommer les autres avec des amis !

mardi 25 septembre 2012

Pied au plancher

C'est MA rentrée !

C'est la rentrée, pour moi aussi, et « enfin », me direz-vous.

J'ai passé les dix dernières journées en congés, mais croyez-moi, ce n'était pas des vacances. Face à l'impossibilité de prendre quelques jours et d'aller voir des amis comme prévu (de toute façon l'un de ces bougres était en Russie...), j'ai consacré ces deniers temps à bricoler chez moi: une première semaine m'aura vu poncer tout mon étage, trois jours auront suffit à Marge pour passer de la sous-couche et me voilà toujours en train de poser du parquet.

Ce qui est marrant c'est que je n'avais pas l'âme d'un bricoleur. Je suis plutôt du genre intellectuel (si, on arrête de se moquer, au fond !) et devenir proprio, c'est aussi s'obliger à acquérir de nouvelles compétences. En fait, c'est cool, ça vide la tête et ça défoule. J'aime bien. Et aidé par mon père pour cette dernière tâche, je m'endors le soir épuisé mais content d'avoir appris quelquechose de nouveau...

Et je suis content du résultat ! On a choisi de poser un parquet flottant de couleur grise. Les pièces paraissent de suite plus propres. La maison, ça avance. Et avec le temps pourri de ces derniers jours, bosser en intérieur est tout ce qu'il me reste !


lundi 3 septembre 2012

Fin de l'été...

A Arras, la fin des fêtes de l'été est célébrée par un feu d'artifice sur le beffroi, en coeur de ville. Cette année, le thème portait sur Louis XIV et Versailles, dont la ville accueille les carrosses.

jeudi 16 août 2012

Visiteur matinal...

Les herbes fraichement coupées, ça attire parfois quelques bébêtes sympatiques!

Mon voisin, ce copieur

J'ai pas fini de débroussailler. Le rotofil n'est pas la machine qu'il me faut pour mes buissons, je casse constamment le fil de nylon et je n'avance pas. Au point que je m'énerve tout seul, je râle. Je suis moi-même, quoi ! J'ai loué la machine pour une semaine et je n'ai même pas été foutu de finir mon travail. A quoi ça sert d'insister si c'est pour passer des heures à chercher les fils qui ne tiennent pas? Les branchages sont trop épais, soit. Alors j'ai arrêté.

Samedi dernier, alors que je bossais dans le jardin, j'ai aperçu mon voisin qui allait se balader, en short. Pépère peinard, lui qui vient aussi de faire bâtir. Son jardin est une forêt vierge, comme l'était le mien, et je pensais qu'il devrait s'inspirer de moi plutôt que d'aller vivre sa vie. Je ne suis pas un bricoleur dans l'âme mais je sais que quand faut s'y mettre faut six mètres ;-) Sa maison a été bâtie avant la mienne mais il me semble qu'on en est au même point dans l'avancée de nos travaux.

Eh bien, je peux vous dire que me voir travailler l'a fait cogité.

Il a profité de son 15 août pour passer le débroussailleur dans son terrain (sauf que le sien était à disque et il a pu le finir), étant de ce fait la seule nuisance sonore de tout le village. Toute la journée, il fallait bien ça. Du coup, le ronflement du moteur était agaçant et je n'ai pas vraiment pu profiter du soleil pour ouvrir en grand les fenêtres...

Main n'empêche, ce voisin, quel copieur !

dimanche 12 août 2012

Massacre à la débroussailleuse

Dans les fourrées, on pouvait apercevoir du mouvement. La savane ondulait de vagues herbeuses au gré du vent. Il était temps. Au pied des buissons, une porte s'ouvrit: et en jaillit un homme armé, portant un masque sombre. C'était moi, un débroussailleur à la main. J'avais décidé de faire un peu de lumière dans mon terrain, avant que la moisson ne force à s'y loger les rats planqués dans le blé.

Il y avait de quoi faire ! Entre les hautes herbes et les petits arbres, il me fallut cinq heures passés à vitesse grand V, pour débarrasser environ 70% de la surface. Du boulot. Ça m'a valu quelques casses de rotofil. Mais le résultat est satisfaisant, même s'il rappelle qu'il y a encore bien du travail avant d'avoir une belle pelouse.

Ce soir, j'attaque ce qu'il reste. La machine en prend un coup, je sais. Mais c'est indispensable.


Tiens, hier soir, en regardant par la fenêtre, j'aperçus un chat passer dans mes herbes fraichement coupées. Il tenait, fièrement, dans sa gueule, un rat qu'il venait de tuer. Plus tard, en allant au fond du terrain voir s'il n'y avait pas laissé de cadavre, je découvrais des traces de sang. Puis, à côté, une patte de lapin, surement écorché par un renard. Ils sont nombreux cette année. Et j'entendis un petit "scouic" dans le blé: les rats.


Il était temps que je finisse le travail.

jeudi 9 août 2012

Usain Bolt fait ses courses

Purées de courses le midi, plus jamais ! Pour une fois que je veux me dépêcher, pensant que le midi il n'y aurait pas trop de monde à Auchan, je saute dans la voiture et je file faire quelques courses Pas grand chose, vous dis-je: du beurre, des fruits, du sucre... ce qui me manque pour une bonne pâtisserie prévue pour demain soir. Miam. Je remplis rapidement mon panier, et je regarde l'heure: parfait. Et là, j'arrive au pire moment: le passage en caisse. J'ai fait l'aller retour deux fois le long des rangées, à peine cinq caisses ouvertes, toutes pleines d'au moins trois caddies. L'horreur.

Alors, je teste la caisse panier, celle où tu scannes tes produits, tu déposes sur la balance, tu payes et tu te casses. Ça va vite. Ouep. Et j'étais tellement pris par la vitesse que j'en ai oublié de faire valoir la déduction de 50% sur mon sandwich du midi. Je me suis fait avoir. Les boules.

Pressé, je me dépêche de rejoindre ma voiture, je chope mes clés, j'appuie dessus... et rien ne se passe. J'insiste, je patiente... elle ne s'ouvre pas. Et pour cause: ma voiture était dix mètres plus loin. C'était pas ma caisse !

Je saute dedans, je repars au boulot. Je n'ai pas perdu trop de temps sur ma pause déjeuner. Mais j'ai perdu un peu de sous sur mon sandwich. Et en plus je me suis même pas régalé...

Homer, ce nouveau geek (avec un metro de retard)

Bon, j'vous explique en deux-trois mots ce que c'était que le test d'hier: simplement l'envoi d'un mail avec publication sur le blog, via mon mobile. J'ai chopé une photo (prise ce dimanche), ajouté du texte, et envoyé vers l'adresse mail qui me sert à publier des billets sur ce blog. Et hop, mis en page.

La statistique à retenir, c'est aussi la taille du message qui vient l'incrémenter au crédit Data qui compose mon forfait. Une photo et si peu de texte, ça fait 1,7 Mo.

Je profite que ce mois d'août, la plupart des blogs sont endormis pour faire des tests. Je dois aussi revoir la mise en page de mes deux blogs, enlever des trucs qui buggent... De quoi s'occuper un peu.

mercredi 8 août 2012

Ceci est un test...

Bon. Sans entrer dans le detail, j'essaie un truc... Ce billet ne compte pas!

dimanche 5 août 2012

Un peu d'air !!!!

La Manche, près de la baie de Somme

Balade le long des Dunes

De quoi retrouver le sourire !

vendredi 3 août 2012

La tête ailleurs

Pas de vacances, ce qui n'exclut pas une petite coupure de repos pour les jours à venir. L'actualité, centrée sur les Jeux Olympiques. La France, et son gouvernement, en vacances. Moi? Occupé par la maison et les travaux d'aménagement, et les objectifs à atteindre. Sans oublier quelques soucis de la vie de tous les jours, le stress quotidien et quelques préoccupations qui n'augurent rien de bon...

J'ai un peu la tête ailleurs aujourd'hui.

Ouep.

J'ai besoin d'air.

Et de temps...

jeudi 2 août 2012

I'm Free (again !)

Lundi soir, j'ai fait le grand saut, après plus de quinze ans passés chez Orange, je décidais de le quitter. Voilà 3 mois que je suis désengagé, et autant que je ne trouve pas les cinq minutes nécessaires à la transaction pour adhérer à l'offre Free Mobile... et bien voilà, c'est FAIT !
Et sans frais !

Ce qui me bloquait: le financement du téléphone et le fait que mon S8000 ne lit pas tous les formats vidéos.

Ce qui me tentait: pour 0,99 centimes de plus, je passais d'un forfait une heure bloqué à un forfait illimité en tout. Idiot d'attendre...

Ce qui m'a fait sauter le pas: un logiciel gratuit sur mon PC, facile à utiliser, et qui permet de convertir tous les formats vidéos !

Ce qui me gêne encore un peu: le fait que le système d'exploitation de mon Samsung est propriétaire, et que je ne peux donc pas accéder aux applications Androïd, me contentant de trucs Java existants...; et le prix des mobiles neufs. Mais bon, le mien fonctionne nickel, prend de zolies photos et est paré côté multimédia...

Bon, tout ça pour dire que j'ai fait la demande en deux minutes sur le site de Free Mobile, que j'ai pensé à désimlocker mon portable et que hier déjà, je recevais ma nouvelle carte sim, qui serait à activer et opérationnelle samedi après-midi !

C'est du rapide !

mardi 31 juillet 2012

Patraque en ce temps de Toussaint...

Je suis patraque aujourd'hui, je crois que j'ai attrapé froid. Il faut dire que le temps à tout pour nous rendre malade: il fait froid, il fait gris. Ce matin, au lever, je me sentais fatigué. Et voilà le résultat. J'aurais pu rester chez moi à regarder les JO. J'aurais surement dormi, et je me serais réveillé après une bonne suée, en forme. Au lieu de ça, j'ai froid, je dois bosser et je vais trainer ma carcasse et ses microbes toute la journée, voire plus longtemps. Pas génial...

lundi 30 juillet 2012

Encore un rêve à la con

L'action se passe dans un petit village, où la place publique est longée d'une route. Je suis une femme, apparemment; et je rentre d'une semaine passée à la ville. Alors que je traverse en direction de ma rue, j'aperçois ça et là des rassemblements de personnes. Des petits groupes. Je demande l'origine, on me répond que quelqu'un a crié pour appeler les flics. Pourquoi donc? J'en aperçois un, je l'interpelle et il m'explique: au milieu de la place se dresse un poteau, un mannequin grossier y est accroché. Au sommet, une coupelle bleue posée à plat.

Un homme a appelé menaçant de faire exploser une bombe, voilà pourquoi la police est là; Mais elle apparaît laxiste, pas de cordon de sécurité. Jusqu'à l'arrivée d'une femme, brune, élégante. Une des personnes présente, une dame, dit que c'est sa sœur, qu'elle est policière.

La policière avance, bouscule le mannequin et fait tomber la coupelle.

Le plan change, on est près des murs de la place, sorte d'arcade, les gens sont attroupés autour de la coupelle et il y a une voiture à l'envers à côté du groupe. La coupelle bleue s'avère être une tablette, et la femme flic se met alors à rire aux éclats face à la supercherie, plaisantant sur la menace. Elle est sure d'elle. Les gens lui font confiance.

Sauf que je constate un petit jet de gaz qui s'échappe de la voiture accidentée. Le terroriste a prévu de gazer la population! Courageusement, je m'enfuis.


Je rentre dans mon petit appartement, pour faire mes valises, mais au détour d'un couloir, un homme chauve et baraqué m'attend. Je lui donne un coup de poing et je me barre en courant vers l'extérieur...


Et c'est la fin de mon rêve...

Idée lumineuse !

L'autre jour, il a fallu aller acheter un luminaire pour la cuisine fraichement posée. Nos plus gros investissements dans la maison sont passés, à une ou deux exceptions faites, et pour donner à la pièce un aspect fini, Marge et moi sommes allés à Lens pour fureter un peu à la recherche d'un lustre ou d'une autre suspension. Et là, terrible constat: y'a rien de pire qu'un magasin de luminaires !

A droite, à gauche. Au fond, au bord. Là. Là encore. Partout, des lustres et autres loupiotes, toutes allumées ! Ça brille tellement qu'on se croirait au cœur du soleil. La température frôle les 80 degrés, mes cheveux sont en feu, aaaargh !

Nan, j'déconne.

Pourtant, un truc vraiment dérangeant, outre le style de certains plafonniers, c'est le nombre d'ampoules allumées, qui rendent impossible à déterminer le degré d'éclairage du lustre que vous voulez acheter. Parfois, une ampoule éclaire mieux que cinq. Au final, on achète un truc qui nous pait esthétiquement sans avoir si il éclaire bien, tellement sa lumière se retrouve noyée parmi elle des autres. Vous me direz « t'as qu'à changer les ampoules ». Oui, mais bon, l'orientation d'un spot, la lumière jaune ou blanche, sont autant de détails qui font qu'on peu se retrouver avec tout et n'importe quoi. Et parfois , c'est pas donné.

On a trouvé un truc pour la cuisine. Ça va être tout beau. Et on verra bien si ça éclaire.

Au pire, j'ai une lampe frontale...

vendredi 20 juillet 2012

Ah Zafira, zafira, zafira !

Comme il a fallu faire quelques travaux sur notre voiture, j'ai eu l'occasion de rencontrer le garagiste du coin, qui tient une concession au village d'à côté tout en habitant dans mon village. L'air un peu dur, il est néanmoins très compétent et consciencieux. Et il m'a prêté un véhicule de remplacement qui change de la Clio !


Y'a plus facile pour circuler dans le parking souterrain du boulot...

jeudi 12 juillet 2012

Country House (1/?)

Juillet c'est un mois anniversaire. Il y a deux ans, Marge et moi nous lancions à la recherche de terrains pour construire notre maison. Les mois précédents avaient fait l'objet de visites de maisons plus anciennes, à retaper pour la plupart, bien souvent infructueuses ou hors budget. La proximité d'Arras était contraignante, l'option de s'éloigner et de construire s'est révélée moins couteuse.

Nous avons vu quelques parcelles. L'une d'entre elle était un champ de betteraves, un peu surélevé, avec une vue splendide, mais en bout de chemin communal. Une autre était au détour d'une impasse, en plein axe d'une Église, ce qui nous aurait sans doute valut les contraintes des bâtiments historiques. Une autre encore, au coût étonnamment bas, était située à 10 bornes d'Arras. Composée de deux petites parcelles, il s'agissait d'un terrain graveleux, en bordure de nationale. Aujourd'hui y trône une maison Phénix branlante. C'est un peu plus loin que nous avons trouvé notre bonheur...

Une parcelle aux dimensions idéales; 10 ares, un champ de blé tout plat, à l'angle de deux rues pour lui donner de la valeur. Arras à 20 minutes. Un calme absolu. Et une vue champêtre, exposée sud sud ouest. Pour un prix plus que raisonnable. Le coup de cœur. C'aurait pu être celle d'à côté, à vendre aussi. Mais celle qu'on a choisi possédait un position stratégique avec deux accès possibles, non négligeables. En moins d'un mois, après plusieurs autres de galère à visiter des maisons, nous avions trouvé un terrain. Restait à démarcher les constructeurs...

(photo à venir)


mardi 10 juillet 2012

Clac

Clac clac clac...

Ça fait quelques jours que j'ai remarqué ce bruit

Clac clac clac...

Quand j'accélère, principalement en ville, comme si un caillou était coincé dans le pneu...

Clac clac clac...

De plus en plus fort, la réverbération des immeubles amplifiant le bruit

Clac clac clac...

Prudent, j'amène la voiture au garage...

Clac clac clac

Deux roulements et deux rotules à changer

Clac clac clac

Le devis...

La claque !

lundi 9 juillet 2012

Et ma main dans ta gueule?

Comme tous matins, je dépose Marge à la gare. Je m'arrête quelques minutes, et bien souvent, on voit ce type qui traine, arborant un jean et une chemise beige, il semble interpeller les passants. On pense qu'il s'agit d'un SDF. Il fait propre sur lui. Une fois il a tapé au carreau et demandé un peu de monnaie. Le voir régulièrement confirme mes doutes.

Et ce matin, Marge le repère et s'étonne que sa main droite traine bien bas dans son pantalon: le monsieur était en train de se toucher sans gêne, à la recherche de son zizi. La main toujours bien placée, il aborde un couple qui se défausse rapidement, avant de venir toquer à mon carreau et se faire envoyer balader. Puis il s'éloigne et nous le voyons sortir sa main, la sentir du bout du nez avant de se gratter le visage avec.

Beurk.

Puis, il repart à l'assaut de deux jeunes filles pour demander des sous...

Le genre d'anecdote qu'on ne croyait lire que sur Partageons nos agapes ;-)

Claude François contre la météo

Le lundi au soleil

C'est une chose qu'on aura jamais

Chaque fois c'est pareil

C'est quand on est derrière les carreaux

Quand on travaille que le ciel est...


J'arrête là. C'est faux. On est lundi et il fait gris. Depuis trois mois le temps est pourri. D'habitude, à cette époque de l'année je suis déjà allé trois fois à la mer. Le ciel déconne, mec. Grave.

Samedi on espérait. Il a fait beau le matin, ça tombait bien on devait aller sur Arras pour commander notre poêle pour l'hiver prochain. Si tant est qu'on sorte de l'hiver précédent. Et arrivé au midi, ça n'a pas loupé, l'orage est arrivé et il n'a plus fait que pleuvoir. Découragés nous nous sommes réfugiés à la maison pour avancer dans les peintures. Bonne nouvelle, le coin cuisine est fait, il ne reste qu'à poser les meubles.

Dimanche, devinez quoi, c'est la pluie qui nous a réveillé. Des cordes. Un torrent. Le déluge. A se demander si on n'était pas plutôt à la Toussaint. Car en plus il fait à peine 20 degrés. Alors, Marge a profité de l'ambiance pour faire les finitions peinture. Moi j'ai fait mes papiers. Et vers 19h00, ce con de soleil s'est pointé. Il a surement passé sa journée dans le Sud...

Ce matin, il fait gris. Ça essaie de percer. Et j'ai dans la tête cette chanson de Claude François, qui, c'est sûr, ne travaillait pas à Météo France. Le con.

vendredi 6 juillet 2012

L'organizer qui flanche...

Je suis quelqu'un d'organisé. J'aime bien suivre un planning, une check-list, faire les choses dans l'ordre, vite et bien, afin d'être tranquille. Mes tâches quotidiennes sont rodées. Je veux pouvoir souffler un moment en ayant l'esprit tranquille. Tout le contraire de Marge, qui prend son temps pour bien remplir sa journée, parfois au détriment de mes loisirs, ce qui m'agace passablement. Mais ça encore, j'ai l'habitude, je gère. Comme un pro.

Et puis arrive l'impondérable. L'inattendu. Le truc qui bouleverse tes plans. Un coup de fil, une visite imprévue, une idée qui doit s'effectuer dans l'urgence sous peine de passer à côté, mais qui chamboule tout ce qu'on a prévu le jour même.

Pour vous dire, j'ai un planning journalier, et un à plus long terme! L'un réfère mes tâches habituelles, l'autre mes objectifs, si possible avec des délais. Parce que sans délai et avec tout mon temps devant moi, je remets facilement au lendemain ce que je peux faire le jour même. Pas sérieux tout ça. Et avec la maison et les travaux qui stagnent, je vous promets quel planning est bien chargé. Il faut que je m'oblige. Allez hop, au boulot.

Ah bah non, pas ce soir.

Y'a des gens qui viennent.

Grrrr...

dimanche 1 juillet 2012

Une brocante tombée à l'eau

Dire que j'avais prévu de faire les choses bien. Au départ, j'avais invité mes parents pour la brocante du village. Chiner, dénicher, se promener, c'est un truc qui leur plait. Je m'étais dit que ce serait cool d'en profiter pour manger un truc sur place, dans une des rares brasseries du coin. Tout était pensé, le ciel d'un bleu éclatant. Parfait.

La brocante est ce qu'on appelle une « nocturne ». En réalité, ça commence à 15h, et se termine vers 22. Un peu moins de 200 exposants attendus, c'est correct.

Bref, on a profité du début d'après-midi pour aller faire des courses et en rentrant, le ciel s'est obscurci. Beaucoup. Très beaucoup. Jusqu'à pleuvoir. Beaucoup. Très beaucoup.

Un torrent d'eau se déversait sur l'Arrageois, l'orage passait, annulant par là-même tous nos projets du soir. Des trombes d'eau, j'vous dis.

Mes parents sont venus quand même. On a mangé des pizzas devant la télé. On a pas été chiner.

En soirée, le coucher de soleil a été splendide. J'en avais pris une photo hier. Voilà.

Y'a plus d'saisons.

Sunset

Un super coucher de soleil (comme tous les soirs, d'ailleurs !)

lundi 25 juin 2012

Vroum. Paf ! ... Pan?

L'autre jour en rentrant chez moi, je fus étonné d'apercevoir une voiture, un break, planté dans le décor. Apparemment un accident dû à la vitesse, la voiture a fait une embardée et s'est retrouvée dans un champ après un virage. Le pare-brise arrière était pulvérisé. Et au devant du véhicule, bizarrement, des dizaines de sacs de courses vides, et quelques babioles, trainaient par terre. Je fis demi-tour, inquiet. Mais personne. L'accidenté était peut-être sain et sauf, je décidais de continuer ma route.

Arrivé au village suivant, la pluie recommençait à tomber. Il aura plu toute la journée. Et au détour d'un carrefour, au loin, j'aperçois deux jeunes, d'une quinzaine d'années, qui marchent sur le trottoir en notre direction. Trempés. Et à la main d'un de ces jeunes, il me semble apercevoir... …

Je demande à Marge, à mes côtés. Elle confirme.

Le mec se baladait avec un pistolet.

Je n'ai pas trainé. C'aurait pu être un pistolet à billes ou un vrai. Je ne voulais pas savoir.

vendredi 22 juin 2012

Que d'eau !


Ô rage !
Quand j'ai vu le ciel s'obscurcir, j'ai su. L'orage arrivait, grondant. Et il ne fallut pas cinq minutes pour que se déversent des trombes d'eau sur Arras. J'étais à l'abri, dans la voiture. Je reprenais le chemin de la maison.

Rarement j'ai vu le ciel lâcher de telles cascades. Très impressionnant, cet orage aura fait chuter quelques arbres. Je roulais prudemment, ralentissant souvent, le rythme de mes balais d'essuie-glace calé au maximum. Pas de visibilité.
En traversant certains villages, des coulées de boue recouvraient la route. S'il fut facile de passer à travers, l'arrivée à destination fut surprenante:
Les égouts n'évacuaient pas le surplus, qui fit monter le niveau de 40 cm, et il me fallut traverser ce qui fit penser au lit d'une rivière. Sur au moins 100 mètres. Le village, dans une cuvette, recevait l'eau des collines. J'aurais bien pris une photo mais je tenais le volant. M'arrêter aurait conduit la voiture à noyer son moteur. Quand j'arrivais chez moi, en passant par des raccourcis plus secs, elle était couverte de boue.
Le plus comique, c'est que je venais de la laver dans l'après-midi...
Et je ne vous parle pas de la coupure de courant d'une heure pendant le foot hier soir...

mardi 19 juin 2012

Reflets teintés

Il avait bien vécu. Neuf ans. Toute une vie pour lui. Il nous a accompagné dans de longs voyages, a subi les caprices du temps et de la météo et aura été violenté bien des fois. On a toujours su voir à travers lui. Fidèle compagnon, il nous protégeait bien souvent. Sans lui, le vide. Le vent. Il a pris des coups, pour la bonne cause, et il peut en vouloir au monde pour ce qu'il a dû supporter. La route a été longue.

Jusqu'à ce jour où. Ce fut grave: gravillons, même. Un impact de plus dans sa vie, l'impossibilité de mettre encore de la résine et voilà, on a dû changer de pare-brise. Chez Carglass.

jeudi 14 juin 2012

Pourquoi y'a rien ici depuis une semaine?

Eh bé, c'est raide mort dans ces lignes. Le taulier est en vacances ou quoi?

Faut dire que la routine s'installe dans la semaine, le seul événement notable, bordel, c'est qu'il y a des fourmis rouges qui se baladent près de mon regard Veolia. Tout le monde s'en fout, quoi. J'aurais pu faire plaisir aux enfants en leur disant que des lièvres s'approchent de ma maison, entourée de broussailles, au point de ne se figer qu'à un mètre de moi. Mais j'aurais du leur préciser que ceux-ci risquaient sans doute de trouver la mort peu après, tenté que je suis d'y poser des collets.

J'aurais pu écrire un billet sur les caprices du temps: il fait simplement froid et j'ai du remettre le chauffage – en veille – au cas où. Ce matin, il pleut, il fait sombre. Les chrysanthèmes fleurissent. C'est la Toussaint. Et mes pieds de tomates attrapent le mildiou.

J'aurais pu râler sur le fait que je n'ai pas encore vu un match entier de l'Euro 2012. Faute aux tâches quotidiennes, aux priorités. Ce soir j'espère m'installer dans mon canapé et siroter une petite bière en regardant le match de l'équipe de France.

J'aurais pu raconter qu'on passe du temps à établir des devis, aux sommes exorbitantes, pour améliorer notre confort à la maison; et qu'on compte de près les centimes. Entre le poêle, le grillage, la cuisine et le terrassement... ceux qui bricolent savent que c'est pas donné. On se serre la ceinture.

Mais bon, tout ça n'aurait pas tenu sur un billet de blog. Alors je n'ai pas écrit depuis quelques jours en ces lignes. Il faut avoir du contenu pour bloguer, c'est la règle.

mercredi 6 juin 2012

Un deal trop beau, ça pue l'arnaque

Y'a ce voisin bien avenant qui m'a proposé un deal que je ne pourrais pas refuser: pour aménager mon allée de garage, il propose de voir avec un de ses collègues de chantier qui m'obtiendrait des gravats de briques qu'il me livrerait. Et je ne paierais que le prix des gravats ! Un deal de fou.

Sauf que.

Sauf que cet entrepreneur récupère ses gravats sur un chantier. Il doit les évacuer, et pour cela, aller à la déchetterie. Et en tant que professionnel, il paie pour se débarrasser de ses briques.

Mon voisin me propose donc non seulement d'aider un de ses potes à virer ses gravats, mais en plus, je devrais payer là où lui aurait du aussi donner des sous pour évacuer. Coup double pour l'entrepreneur ! Non seulement il économise la déchetterie mais en plus je le paie pour ça !

Encore une belle arnaque.

Quand c'est trop beau, méfie-toi. Ça cache souvent quelquechose.

jeudi 31 mai 2012

Vent d'amour





L'opening de cet animé reste en tête et me rappelle à quel point il est excellent. A voir !

mardi 29 mai 2012

La fête au village

Eh! Je vous ai pas dit, c'était la fête des voisins dans mon village ce samedi !
L’Amicale du coin avait collecté un peu de sous pour nous concocter un barbecue à volonté, accompagné de ses desserts et de ses boissons. L'occasion était trop belle de rencontrer ses voisins, Marge et moi y avons donc participé.

Nous avons été chaleureusement accueillis et sommes restés principalement avec des gens de notre génération. Franches rigolades malgré des opinions politiques différentes, et une soirée marquée d'anecdotes marrantes.
Ce qui était marrant, lors de cette soirée, c'est que chaque arrivant qui nous saluait demandait si le problème d'eau était résolu. Les news vont vite ! 
On a aussi appris que des rôdeurs siphonnaient les voitures de la rue. D'après les observateurs, ils ont tourné autour de notre auto, la seule en bas du village, mais nous avons échappé au pire. Peut-être parce que nous la garons fort près du mur? En tout cas, le voisin du dessus a eu droit à ses deux véhicules de pompés. Et ils rigolent pas, ils crèvent le réservoir ! Apparemment depuis quinze jours le calme est revenu, mais les soupçons pèsent sur des jeunes du village d'à côté.

Un nouveau voisin va s'installer. Il parait pas commode. Va y a voir de quoi se moquer.
Pinaise, la vie au village, c'est mouvementé quand même...


vendredi 25 mai 2012

La fuite, épisode 2

Aujourd'hui, d'heure matinale, l'assainisseur est venu voir si la fuite était de sa responsabilité. Il aurait pu mal serrer la fixation du tuyau. Il m'a appelé dans la matinée, me disant que si ce n'était pas de sa faute, il connaissait un type à Veolia pour s'arranger une intervention.

Évidemment ce n'était pas de sa faute.

En milieu de matinée, j'étais appelé par le technicien de Veolia qui me précisait avoir trouvé la fuite et... qu'elle était due à un mauvais raccord de l'assainisseur.

Bah tiens !

J'ai donc rappelé l'assainisseur, qui y est retourné. Et bis repetita: la jonction n'est pas de son fait mais de Veolia.

Ras le bol de jouer au ping pong. Et je n'étais pas le seul: le technicien Veolia rappelé, il m'exprima son agacement et proposa de réparer la fuite et basta ! Je lui expliquais que je ne souhaitais pas pour autant payer plein pot. Il me posa quelques questions (dates d'emménagement, dernier relevé, tout ça...) et expliqua qu'il allait proposer un dégrèvement, avec une facturation sur la base moyenne.

Pour info, à celui qui cherche la valeur, la base de facturation moyenne chez Veolia dans le Pas de Calais est de 3m3 par moi et par personne vivant dans le logement.

Il me dit que l'on me confirmerait ça et que je ne devais rien payer d'ici là. Cinq minutes après, il rappelle pour me confirmer avoir eu sa chef à Arras qui propose une annulation des hectolitres perdus et de me facturer seulement l'abonnement. Quant à la facture reçue qui prenait en compte la fuite depuis un mois, il me dit de ne pas la payer pour le moment et d'attendre un rectificatif.

A suivre.

Les paroles s'envolent...

mercredi 23 mai 2012

La fuite

J'ai une boule au ventre, là, vraiment. J'ai bien fait de vérifier mon compteur d'eau hier soir, mais la surprise n'était pas bonne. Oh non.

J'avais déjà payé un peu la consommation d'eau pour ma maison, et n'ayant rien changé à mes habitudes je pensais rester sur les mêmes débits qu'à Arras, soit environ 50m3 par an.

Déjà, à la remise des clés, nous avions colmaté une fuite, car il manquait un joint à la sortie directe du compteur posé par Veolia. Je m'étais fait à l'idée de régler ce surplus, car la fuite étant de mon côté, j'en suis responsable. Tout allait bien, jusqu'à ce qu'hier soir, j'y regarde. Je venais de recevoir une facture qui me paraissait importante...

En un mois, j'aurais consommé 70m3 !!! Vous imaginez? Le rappel que je venais de recevoir ne concernait qu'une partie de ce cubage, déjà 100 euros ! A combien j'allais me retrouver à la fin de l'année?? Impossible pour moi de continuer comme ça: le regard avait de l'eau au fond, j'effectuais donc des tests en coupant l'eau chez moi pour détecter une fuite.

Néant dans la maison, ou le vide sanitaire. La fuite venait du compteur. Mais sa disposition m'empêche de voir clairement l'origine, vraisemblablement à la sortie du regard (de mon côté pour pas changer). Autant dire que je vais devoir payer. Cher. Pour rien. Ça me fout les boules.


Alors j'ai appelé Veolia. Ils me disent que tout ce qui est après compteur, ils ne viennent même pas. C'est ma responsabilité d'appeler un plombier équipé, qui sortira le regard de terre et effectuera la réparation. Je fournirai une facture et un dégrèvement pourra être effectué...

J'ai donc appelé l'assainisseur qui a effectué ma tranchée technique, pour faire marcher une garantie. Lui, m'a dit qu'il passerait demain vérifier si leur raccord ne refoulerait pas. Et il me ferait un papier.

Mais j'ai les boules. Comment gérer sa consommation d'eau? Et si ça ne vient pas de là, combien vais-je encore devoir débourser? Que d'eau que d'eau que d'eau...

mardi 22 mai 2012

Disneyland: les photos


Super mise en scène, et frissons garantis !




20 ans que c'est le même film dans l'attraction, on ne s'en lasse toujours pas !


Walt, et sa création...

lundi 21 mai 2012

Salut les Mickey !

Un week-end placé sous le signe de la peinture à la maison, entrecoupé d'une heureuse sortie au parc d'attraction: voici le résumé des quelques jours qui viennent de passer.

Il aura fallu un peu de temps, la technique n'est pas parfaite mais c'est fait, le plafond est recouvert d'une peinture blanche. La planning est respecté, on a pu attaquer les murs de la cuisine bien avant de poser celle-ci, et on a bien fait: la couleur nécessite une deuxième couche. Mais si on fait fi des défauts apparents... Ça rend bien ! Orange, une couleur chaleureuse... mais la peinture est difficile à appliquer.

Je raconte ça pour meubler, hein. Parce que l'évènement du week-end était plutôt la sortie au parc d'attraction Disneyland, organisée par ma boîte. La journée était ensoleillée, le tarif attractif, et on n'a pas hésité. Au programme, les plus grands manèges du parc: Space Mountain, Star Tours, Small World (fichue musique), Les pirates, Big Thunder Mountain... C'est dingue d'attendre aussi longtemps pour deux minutes de jeu. Ça dissuade presque de venir.

Et au passage, on est allé dans le deuxième parc, Studios, où on a pu assister à la parade des personnages en voiture, et aller dans les attractions les plus en vues: la voiture de Rudy (raide, raide), Rock'n'Rollercoaster, et la Tour de la terreur. Délirant.

Au final, huit grosses attractions pour 9 heures dans le parc. Bon bilan. On a même échappé à l'averse orageuse du soir, qui en aura trempé plus d'un ! Et on repart avec de bons souvenirs et une préférence avouée pour le parc Astérix quand même...

Je posterai des photos ce soir ou demain, tiens. On verra Mickey.


mardi 17 avril 2012

Nous vous devons plus que la lumière...

Quelles mésaventures avec ERDF... allez, je vous raconte:

Dans un premier temps, j'ai fait l'erreur de faire monter mon alimentation électrique en triphasé, pensant que perdu dans la campagne, ce serait un plus. D'autan que mes parents y sont. Sauf que non, c'était trop, il aurait fallu passer en mono, d'après mon électricien. Donc, j'ai appelé EDF et ERDF, le premier pour négocier mon contrat, le second pour corriger mon erreur. Après 5 appels en une heure, et un quiproquo immense, je raccrochais, persuadé qu'ils avaient compris ma requête: passer en mono, puis activer le courant.

Sauf que.

Le technicien a finit par passer vendredi. J'avais pris ma journée. Il est arrivé au matin, et s'est retrouvé con: on lui avait donné 3 lettres de missions différents pour l'activation de mon compteur, mais aucune ne mentionnait le changement de compteur en mono ! Il est donc venu pour rien, j'étais désespéré ! Il s'est d'ailleurs mis en colère après ses supérieurs, et l'un d'entre eux a envoyé un mail prioritaire pour accélérer les choses.

Encouragé par lui, j'appelais de nouveau et expliquais mon souci à une charmante dame, en ajoutant un peu de fiction à la chose: un gamin de 3 mois et un emménagement mardi au plus tard. Attendrie, elle fit participer sa chef de service qui « pirata » le système du service raccordement, et accéda à ma requête mais pas avant jeudi.

J'appelais donc EDF pour savoir s'ils pouvaient raccourcir le délai. Un homme me répondit que non, et je fus appelé par ERDF en même temps par une responsable très gentille, efficace, qui me dit qu'elle me rappellerait lundi pour confirmer un passage mardi. Ouf.

Une demi heure après, c'est un autre gars d'ERDF qui me joint, et qui m'annonce un rendez-vous lundi après-midi pour mise en service et changement de compteur, en s'excusant platement.

Il est venu, il a changé mon compteur et m'a donné chauffage et lumière. Enfin. La maison est chauffée ^_^Tout est bien qui finit bien...


Epilogue: je fus rappelé lundi soir par la dame responsable du service raccordement. La gentille. Elle me dit que normalement, un technicien était passé, ce que je confirmais. Elle fut ravie que je sois satisfait, et que je puisse emménager mardi (sic!). De plus, elle s'excusa à nouveau de la qualité de service, ne comprenant pas pourquoi on avait mis du tri au lieu du mono... le « piratage » aurait-il effacé mon erreur originelle de commande? Et du coup, vais-je payer mon changement de compteur...?

lundi 9 avril 2012

Guet-Apens

C'était samedi. Marge et moi travaillions à la maison, elle à sous-coucher les murs déjà prêts, moi à me déguiser en mime Marceau par la force des choses, car je continuais à poncer la pièce principale et plus spécifiquement mes plafonds. Enduit de plâtre, je répondais à quelqu'un qui toque à la porte...

Cinq types du village sont venus nous souhaiter la bienvenue ! Je suis resté coi pendant que ceux-ci débitaient tout azimut des messages de sympathie, nous invitant au plus vite à boire l'apéro ! Hop, ni une ni deux, ceux qui n'étaient que des inconnus sont devenus mes futurs voisins, et il n'aura fallu que quelques instants pour qu'on se débarbouille tant bien que mal et qu'on se retrouve en haut de la rue pour l'apéro. D'un couple nous voilà une bande, qui se promène dans la nuit froide à faire la tournée des bistros. Sauf qu'il n'y a pas de bistro au bled, donc on s'arrête chez l'un l'autre. Et on finit à manger dans une ferme pas loin de la maison, complètement claqués d'une journée de travail et d'une soirée surprise qui s'est terminée au milieu de la nuit. Le temps de rentrer à Arras, se laver et nous voilà endormis. Si les soirées au village sont toutes comme ça... ça promet !

lundi 2 avril 2012

6128 +


On se rend compte qu'on vieillit quand on discute avec un collègue au sujet de nos premiers ordinateurs. Pinaise, j'ai commencé avec un Amstrad 6128+. Imaginez. Le truc ne lisait que des disquettes 3 pouces, il était déjà démodé quand je l'ai eu. A l'allumage, deux choix sur un écran bleu: le jeu de voiture de la cartouche, Burnin'Rubber, ou Basic. Basic, le langage micro.

Je me rappelle avoir passé une après-midi complète avec mon père à taper les 8000 lignes de codes pour fabriquer un jeu, trouvé sur le guide d'utilisation. Après cinq heures de boulot, on tape le Run salvateur et... rien, que dalle. Error. On s'était trompé, surement, une lettre quelquepart parmi les 8000 lignes. A vous dégouter de la programmation.

Au final, le Basic ne servait plus qu'à lancer les jeux sur disquettes. A l'époque, on trouvait des compilations de 10 jeux sur un disque, de qualité inégale et avec le point commun de n'être souvent qu'une ébauche pixellisée sur un fond monochrome. Du rose, du bleu. Du jaune. Et des pixels noirs qui vous font vivre une aventure. Et quelques jeux sortaient du lot, Zynaps et sa musique de folie. Je la fredonne encore. Le premier Football Manager. J'ai passé avec mon frère des heures sur ces petits jeux: on n'y trouvait pas l'esthétique des jeux d'aujourd'hui, mais on s'amusait vraiment. Au fond, c'est vraiment ce qui compte, non?
Quoique, ma mère avait aussi trouvé des « jeux éducatifs », la grande peur des gosses que nous étions.
La technologie étant, elle ne cesse d'évoluer, et jouer à l'ordinateur est vite devenu lassant. On était loin encore de Windows et de son interface, proposant plus facilement des alternatives à notre utilisation de l'informatique. L'explosion des consoles de salon, et l'arrivée de notre première Super Nintendo, a changé la donne. Le fait que notre écran n'affiche plus que du rose aussi, je pense. Mais faut l'avouer, c'était une belle époque. 


On jouait, on s'amusait. On était des gosses. Avec un vieil Amstrad 6128+... 


mardi 27 mars 2012

La montée de stress

Non là, j'vous jure, j'vais péter un plomb, et ce sera de circonstance, puisque c'est l'électricien qui me fait chier. J'vous explique dans les grandes lignes: la maison doit être livrée mercredi, ils sont en train de faire les finitions, dont les raccordements au boitier EDF. Le mec ouvre la boite et oh, surprise, il s'aperçoit que j'ai fait alimenter la maison en triphasé. En pleine campagne, j'avais jugé ça plus prudent. Sauf qu'il n'a, comme par hasard, pas prévu le matos, et que celui-ci sera plus cher. Il m'a déjà fait le coup pour 30 cm de rallonge, j'avais pas cédé. D'autant qu'on s'était rencontré pour déterminer les emplacements des prises: il ne m'avait pas posé la question et s'il l'avait fait, je savais déjà quel branchement j'allais faire !

Donc me voilà à deux jours d'avoir les clés, et il m'appelle pour me dire qu'il pourra peut-être pas brancher parce que c'est 200 euros de plus pour un différentiel, qu'il faut bien gagner sa croute, nananana... il a qu'à s'arranger avec le constructeur, il rognera sur ses marges, lui ai-je répondu.

Ras le cul.

Entre ça et la banquière qui est absente aujourd'hui, comme par hasard, alors que j'ai besoin d'elle... je n'en peux plus !

mercredi 21 mars 2012

Cheval dire à ma mère !

Quand y'en a poulain, y'en a pou l'autre !

mardi 13 mars 2012

Au courant


Allez, allez, j'vous raconte mon week-end? J'ai à peine allumé mon ordinateur, c'est dire qu'on aurait pu croire que j'étais en vacances. Mais non, pas du tout. En réalité, j'ai:
  • Passé mon samedi dans les magasins de bricolage, pour trouver mon futur équipement sanitaire et les peintures murales des pièces urgentes. Je suis rentré lessivé au soir, les mains vides et des projets encore flous en tête. Je ne trouve pas ce que je veux.
  • Passé mon dimanche partagé entre l'appartement, où Marge et moi avons démonté un living et préparé des cartons, et le jardin, dans lequel j'ai rassemblé les bûches de bois pour faciliter leur déplacement le moment venu. Il faisait beau et chaud, 18 degrés au soleil. Très agréable et passablement épuisant.
  • Pris congé ce lundi pour attendre pendant quatre heures les techniciens qui devaient raccorder ma maison au réseau électrique. Ils avaient du retard, j'en ai eu l'impression de perdre ma journée. Sans oublier que pour refermer le garage après leur passage, j'ai complément galéré...
Alors vous auriez pu croire que j'ai délaissé mes blogs. Bah oui, c'est vrai. Mais je ne me suis pas ennuyé.