Onglets

mardi 31 janvier 2012

La liste de mes séries 2012

Je prends parfois un peu de temps pour faire le point sur les séries que je regarde. En ces périodes troublées, difficile de suivre le rythme, même si j'ai su profiter de la trêve hivernale aux States pour rattraper mon retard. Elles ont donc encore 15 à attendre d'être visionnées, sagement stockées dans un coin de mon ordinateur: les Borgia (de Canal+), Once upon a time, Life on Mars (version UK), Person of interest, Boss, Community, Homeland, Fringe, Sherlock, Battlestar Galactica, Vampire Diaries, the Walking Dead, Downtown Abbey, et récemment, Alcatraz et Touch (sans compter les japanimés). Et en attendant, notamment, le retour de Game of Thrones.

Et tout cela en VOST, ou presque, que je regarde seul exclusivement, car Marge et les sous-titrages, ça fait trois. Ça demande une sacrée organisation, pour dégager 45 minutes de détente à passer, le mug de thé/le verre à bière à la main, devant son écran.

Seize séries, hétéroclites et dont le choix peut paraître surprenant, alors qu'il me reste encore des trucs à finir.

Heroes, saison 4, par exemple... je me demande si je verrais la fin un jour...

lundi 30 janvier 2012

Les boules du week-end


Vous savez bien que je ne sais pas faire sans raconter mes week-ends. Et celui-ci sort de la routine: pas de chantier, mais l'opportunité de faire le point sur l'avancement des travaux de notre maison, et quelques courses en rapport.

Sauf qu'on avait pas prévu le guet-apens: contacté à l'arrache par la famille, on se vit donner rendez-vous au bowling pour passer l'après-midi ! Nous voilà donc embarqué vers le complexe où nous sommes allés surement trop vite, attendus pour lancer les boules vers les quilles et marquer des points. J'ai été particulièrement moyen durant cette partie mais la concurrence, faible parmi les sept que nous étions, ne m'a pas empêché de finir deuxième.

Le samedi après-midi, au complexe, il y a foule. Ils ont donc instauré un système de roulement pour ceux qui y restent un moment. Et pour cause: il propose aussi de s'essayer aux joies du laser game et du karting !

Le laser game est sympa, sur le thème de Stargate SG-1. On entre dans le sas via une porte des étoiles, on s'équipe et on se lance dans un dédale de couloirs obscurs sous une musique bruyante en incarnant les personnages de la série: Teal'c, O'Neil, Jackson... Bien fun, mais les gosses sont vraiment doués à ça et notre équipe s'est fait ridiculiser.

Enfin, une partie du groupe est allé faire du kart. Moi, j'aime pas trop: ça va vite et la vitesse n'est pas mon truc. Mais en restant sur le côté, j'ai assisté à de belles courses. Et j'ai tenté de prendre des photos...
Bref, le reste de la soirée n'intéressera personne, jusqu'au lendemain où nous sommes allés manger chez mes parents. Miam.


Vous constaterez que l'assiette contient des frites. C'est bon les frites.
Vous constaterez aussi que le verre porte une mention Bush de Noël. C'est rigolo. Et qu'il est rempli d'une bière de chez nous – enfin, du Noooord -, la Cuvée des Jonquilles, fraîche et acidulée. Merci bien !

dimanche 29 janvier 2012

J'ai pas l'temps !

Je vous préviens: aujourd'hui, je vis en flux tendu ! A peine rentré d'un excellent repas chez mes parents, hier, que Marge et moi nous sommes attelés à revoir des détails pour notre projet de construction. Et là, panique ! On s'aperçoit qu'il y a des trucs pas précisés, des rendez-vous urgent à prendre et qu'on a un timing hyper serré. Le plus long étant, d'ailleurs, les déplacements entre les différents points.

A prévoir, accrochez-vous: le constructeur (visite de chantier, points de détails), le cuisiniste (tiroirs à ajouter), le carreleur (choix définitif), mon bailleur (préavis), le roy merlin (pour réussir... euh, gaine de hotte, faïences), le plombier (vannes)... pitêtre la banque, sans compter la journée de travail (8h30), les repas à préparer... il ne faut rien oublier, tout doit être fait AUJOURD'HUI !

Pour ne rien arranger, les artisans n'ouvrent que jusque 18h, quand ils sont joignables !


Vous comprendrez que je ne puisse pas bloguer efficacement. C'est le cadet de mes soucis.

vendredi 27 janvier 2012

Ça y est c'est le week-end (Lorie, sort de ce corps!)

Enfin, le week-end. On pourra dire qu'il était attendu, et pas que par moi. La semaine fut tendue, avec énormément de papiers à régler et l'envie d'être tranquillement installé dans son canapé à 21h qui s'effaçait face au constat de la réalité. J'ai peu dormi, il me reste encore plein de choses à faire.

Vendredi soir, ce n'est le week-end qu'au moment où je partage un petit apéro en amoureux avec Marge. Traditionnel.

Mais avant cela, il faudra encore passer plein de coups de fils, pour la maison bien sur. France Tel, le plombier et la banque. Et après, y'aura encore du boulot. Des tâches ménagères sans nom, de la recherche. Et enfin, mes fesses dans le sofa. Avec un verre de whisky. Et un glaçon.

On regardera une série. Burn Notice, surement. Je préfère cent fois la VO.

Encore un week-end qui s'annonce chargé. Dans deux mois, nous aurons les clés, je m'effacerai du web quelques temps pour y revenir dans un nouveau cadre, en espérant ne pas être oublié. Une page va se tourner.


Je sais, le titre de ce billet prête à discussion. Lorie a un joli corps, purée. Mais sa chanson sur le week-end, c'est un furoncle sur sa carrière. Yeah yeah yeah.

mardi 24 janvier 2012

Pause Goûter !

MIAM !

lundi 23 janvier 2012

OVNI soit qui mal y pense !

J'en entend déjà qui se marrent quand je parle d'OVNI. Ça me rappelle la naïveté dont on fait preuve quand on est gosse: je revenais avec mes parents d'une sortie à Arras un Samedi, quand j'étais petit et que j'habitais à la campagne. A l'arrière de la voiture, je regardais le ciel étoilé. A l'horizon brillait le halo pâle d'un village endormi, quand soudain, un cercle lumineux illumina le ciel. La forme, blanchâtre, semblait suivre notre voiture en tournoyant, passant parfois au dessous des quelques nuages. J'étais pris de panique, et alertait mes parents. Ils me dirent que ce n'était rien de grave: juste le projecteur d'une boite de nuit célèbre par-là, qui était braqué vers le ciel pour attirer le fêtard.

Redescendu sur terre et avec un esprit aussi cartésien que possible, c'est comme ça que j'ai grandi pour en arriver à l'autre soir. Je revois la forme, distincte, qui n'avait rien à voir avec ce que je connaissais: ni avion, ni satellite, ni hélico. Encore moins halo lumineux de boite de nuit. C'était juste de forme ovoïde, couleur feu, brillant, et ça suivait une trajectoire rectiligne avant de bifurquer tout net et de disparaître.

Un jour je saurai si c'était un ballon porté par le vent, une météorite ou le reflet d'un éclair cosmique. D'ici là, toute hypothèse reste ouverte.

mardi 17 janvier 2012

Ephéméride

C'est rigolo...

lundi 16 janvier 2012

Soleil, débris et chantier (un week-end classique)

Ce samedi, un grand soleil et une température proche de zéro nous ont permis de faire le premier barbecue de l'année ! Certes, il interrompait une demi-journée de travaux, à déblayer briques et gravats, et on n'a surement pas su l'apprécier comme on le ferait pour une grillade en été. Mais c'est agréable tout de même! D'autant que le boulot, lui, était particulièrement usant cette fois-ci. Ce furent des centaines de kilos de débris, et autant de poussière, que nous avons soulevé avec notre équipe de six braves pour retaper une maison et la rendre habitable. Rien à voir avec la mienne, bien sûr, mais la solidarité est de mise!

C'est avec des douleurs dans le dos, et plus une force en moi, que je m'affalais le soir dans mon canapé, bien décidé à regarder un bon film, mais me rabattant sur les Simpson qui passaient à la télé. Mes yeux se fermaient, j'allais me coucher.


Le lendemain fut consacré au repos, le premier dimanche depuis longtemps, partagé entre quelques matches de Fifa 12, des épisodes de séries et un film vu par 17 millions de gens, Intouchables. C'est un joli film, pas parfait, mais très bien fait. On rit, on sourit, on s'émeut. On aime.

Il n'y eu pas d'événement vraiment notable ce week-end. A peine de quoi faire ce billet.

mercredi 11 janvier 2012

Soleil couchant...

... sur le boulot... jusqu'à demain...

mardi 10 janvier 2012

Pourquoi je n'ai pas sauté sur l'offre de Free Mobile?

Parce que j'aimerais bien, mais j'peux point. La pression est de mise, car seuls trois millions d'abonnés pourront bénéficier de cette offre de lancement. J'aurais aimé aller m'inscrire mais le site est saturé. Alors, comme il me reste trois mois d'engagement chez le fruitier, je risque de finir trois millionè-unième. Genre, pas de bol. Car nul ne sait ce que Free Mobile réserve à ceux qui auront tardé.

Une chose est sure, ça résilie à tout-va chez les opérateurs concurrents, dont SFR qui n'a sur déclarer que chez eux, ils sont forts en assistance. Bein, justement, si on a besoin d'assistance, c'est qu'il y a des problèmes. Et chez Orange, je ne sais pas s'il y a un lien, mais les lignes sont occupées en appel sortant. Je le sais parce que ma Maman a essayé de me joindre en vain hier soir et qu'elle est abonnée Livebox. Lien de cause à effet ou pure coïncidence sur un réseau qui a tendance a sauter régulièrement?

Et puis comme je déménage bientôt, faut que je calcule si ça vaut vraiment le coup: je passerai par la même occasion à la Freebox Revolution avec appels illimités sur mobile... je me tâte encore...

Malgré tout je ne suis pas prêt à perdre de l'argent, moi non plus. J'ai lu le billet de Marco pour m'assurer de faire le bon choix, et celui-ci propose en lien un calculateur qui m'incite à finir mon abonnement. Donc, je patiente. En espérant ne pas être le dindon de la farce, moi qui suit Freenaute depuis des lustres...

lundi 9 janvier 2012

Gravats


On peut dire que ce week-end est passé vite. Bien occupé. Et que j'ai peu dormi.
Non pas que j'ai fait la fête, croyez-moi, loin de là. Ce samedi, Marge et moi sommes allés sur notre terrain pour constater les dégâts. Sur environ 10 m², sur le côté de la maison, on a déversé et (bien) tassé des gravats. Le pire, c'est que j'ai une idée de ce qui s'est passé. Laissez-moi vous raconter.
Il y a quelques semaines, je reçois un appel du type qui m'a vendu le terrain où je fais bâtir.
« Allô, Homer Dunord? Je vous appelle pour savoir: vous allez avoir besoin de terre pour relever votre niveau de terrain?
  • - Oui oui, on n'en a pas assez.
  • - Y'a un voisin qui fait bâtir et qui fait faire son assainissement. Ça vous dit qu'il déverse le surplus chez vous?
  • - Bien sur, s'il le veut. Mais à condition que ce soit de la belle terre sans cailloux, et qu'il la déverse en tas, au fond du terrain.
  • - Ok, je lui dis »
Résultat: il a déversé de la caillasse, et bien tassé le tout, au bord du terrain. Je me retrouve avec 10m² sur 30 cm de profondeur tassée, de terre et de petits galets, briques cassées, etc... Je ne pourrais jamais tout enlever. D'un terrain superbe, je me retrouve avec un terrain caillouteux au plus mauvais endroit, là où je ne pourrais rien construire, fosse septique oblige. J'envisageais d'y semer du gazon. Je suis dégouté. Et ça, je ne le pardonnerais pas. Ce voisin là, il est d'ors-et-déjà sur ma black list.

Pour nous défouler, on est alors allés chez le frère de Marge, qu'on a jamais vu dans la série animée des Simpson. Lui a acheté pas loin de chez moi, et retape une baraque. On en est à la phase « démolition intérieure » et c'est à coup de masses et de ramassis de gravats qu'on a passé la fin d'après-midi. Je profitais d'un pose pour préparer un panneau « Dépôt interdit » pour mon terrain, afin d'éviter que ce connard de voisin continue de virer sa merde chez moi. Je l'ai posé bien à vue. On verra. On est rentrés à 23h, le temps de se laver et de manger qu'on était déjà le lendemain.


Et il fallut se lever pour aller à la Réunion de Famille. C'est une tradition dans la famille de ma compagne, se réunir une fois en début d'année et confronter les générations de cousins, frères et sœurs et petits-enfants, autour d'un buffet où chacun ramène ses petits plats. Il y a toujours du monde, quelques clans qui se forment, une bouteille de Ouzo et moi. Ces repas se terminent vers 21h, comme hier, et sont simplement usants. On apprend plein de rumeurs, de coups bas, de projets et on discute longtemps. Il faut dire qu'il y a du monde. Et du bruit. Et du vin. Mais j'en ai pas bu. Oui, vous lisez bien. Au point que ça a dû me travailler autant que d'entendre mon voisin d'appartement regarder une film bizarre jusque deux heures du matin. Je n'ai pas réussi à trouver le sommeil, j'ai dormi 2 heures à peine cette nuit, et je n'ai fait que rêver.
Il faut que je prenne une journée pour me reposer.

jeudi 5 janvier 2012

La SNCF fait aussi des choses bien

Hier, donc, il a fallu monter à la gare pour annuler l'abonnement de travail qu'avait contracté Marge pour aller sur Lille. Je pensais impossible un remboursement, dans la mesure où ils étaient dans l'impossibilité de vérifier qu'elle ne l'avait pas utilisé. C'était encore de l'argent jeté par les fenêtres, qui s'ajouterait à la déception du récent événement.

En plus, il devait être 17h30, je m'attendais à attendre deux heures avant d'atteindre le guichet. Pourtant, une éclaircie s'est glissée dans la journée. Je n'ai pas attendu. Et en plus, la fille qui nous a reçu nous a rassuré: on pouvait être remboursé au prorata journalier. La SNCF fait aussi des choses bien. Il suffisait de préciser si on souhaitait que ce soit en bon de voyage ou un virement. Ne prenant que rarement le train, on précisait virement, remplissions le formulaire et joignions les pièces nécessaires. Le courrier fut envoyé dans la foulée. Maintenant on attend.

J'ai aussi communiqué vos messages à Marge, qui les apprécie. Plus particulièrement, elle remercie Falconhill, à la fois pour ses SMS qui l'ont fait rire et pleurer – elle a un grand attachement pour ce monsieur – et pour son appel dans la soirée, qui l'a interrompu pendant une partie endiablée d'Uncharted 3.

mercredi 4 janvier 2012

Tapin de Noël

Arbre fruitier

mardi 3 janvier 2012

Je contiens ma colère mais pourtant...

J'avais écrit un billet ce matin Chez Homer, publié puis dépublié. J'imagine que certains agrégateurs de flux en auront gardé trace. Il attaquait d'une certaine façon un société précise qui se veut mutualiste, mais qui vient d'enlever ses espoirs à Marge qui s'y impliquait pourtant pleinement. Trop exigeante, cette boite vient de remercier un de ses éléments sans aucune raison valable. J'étais en colère, j'ai encore tapé n'importe quoi. Et pourtant, je le pensais.

Marge est compétente et s'adapte, mais l'arrivée dans un nouvel emploi nécessite forcément une période d'adaptation. Les entreprises ne semblent pas le concevoir.

Il faut se remotiver, et vite. Et trouver du boulot.

Bonnes résolutions


A chaque année ses bonnes résolutions, parait-il. N'étant pas bourré de vices, je n'ai jamais eu vraiment à en prendre, donc, à en tenir. C'est quand même bien pratique d'approcher la perfection.

Blague à part, c'est souvent en cours d'année, quand le besoin se fait sentir, que j'aspire à changer d'attitude. Généralement, ça a trait a mon bien être physique: je ne fais pas assez de sport, et l'arrivée des beaux jours m'invite à aller courir dans le bois de la Citadelle. Mais le retour des intempéries et de la Ligue des Champions me rappelle à mon canapé, où je compense bêtement la perte de calories causée par la course avec une bonne mousse.

Souvent, j'essaie aussi d'être plus sérieux et de ranger mes papiers au fur et à mesure. Ce qui se traduit plutôt par « une fois que j'ai un gros tas posé sur le bureau ». Alors je stocke à côté. Et puis un jour je me décide, fortement encouragé par Marge qui me hurle dessus. C'est sa méthode pour me motiver à me dépasser.

Ca marche pas.

Alors cette année, pas de résolution intempestive. Il y aura des décisions à prendre, importantes. Mais on verra à ce moment là.