Un nom tapé sur Facebook, un billet qui revient en mémoire et une photo qui s'affiche. Mais cette fois-ci, ce n'est pas elle. Ce sont deux magnifiques enfants. Ils ont les yeux de leur maman. Les oreilles de la famille. Une fille, portrait craché de sa mère. Un garçon, adorable crapule.
Et chez moi, une douleur, là, quelquepart.
Le pire dans tout ça c'est qu'on sait qu'ainsi va la vie. Il y a huit ans, elle me disait encore ne pas vouloir d'enfants. D'autant que la vie de l'autre en était déjà parsemée. Quatre en tout. De deux femmes. Et maintenant, six, j'imagine. Ça remue les souvenirs, ça nourrit les regrets et ravive une certaine nostalgie. Et une certaine colère. Ça rappelle qu'on a été trahi, que tout change et que les personnes qu'on croyait importantes ont tourné la page sur vous, que vous n'étiez que passade et qu'aujourd'hui, elles trouvent le courage d'avancer là où vous hésitez à faire un pas.
Je finis ce billet sur une note positive, malgré tout: de mon côté, j'ai trouvé quelqu'un qui m'occupe pleinement! Pétillante, chiante, énergique, drôle et magnifique, Marge possède les qualités que je ne trouvais pas chez l'autre. Un sourire ravageur, un caractère fort, un cœur gros comme ça. Et elle, simplement, est la lumière qui éclaire mon chemin vers l'avenir.
Ouh là... Sans commentaires, sinon que oui.
RépondreSupprimer(merci pour le lien, je me sens très concerné moi aussi...)
Les personne qu'on croyait importantes. Tout est question de sa propre foi, avant comme après !
RépondreSupprimer:-))