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jeudi 1 septembre 2011

Siouplé?

Au boulot, on a un système qui met tout le monde d'accord: quel que soit le niveau de chacun, on est obligé de participer à la plate-forme téléphonique interne du service pour permettre à nos collègues de bosser dans le calme. Ce n'est qu'une fois par semaine, au maximum, ce n'est donc pas un inconvénient. Sauf quand le binôme que vous devez composer se faite avec celui qui pue. Là, ça devient moins drôle.
C'est le présage d'une journée où tout va bien commencer, jusqu'à ce qu'il arrive. Une journée où le comique de situation égalera les meilleurs Vaudeville. Quelques exemples: si un client appelle et qu'il ne sait pas répondre, il va poser le combiné sans mettre la musique d'attente, se moucher dans ses doigts, laisser le client entendre les conneries racontées dans le service, voire même faire une erreur de manip' lors du transfert d'appel et perdre la communication. Il est comme ça. Quand il décroche, il ne se présente pas: il manquerait plus que le client connaisse son nom! Alors il donne le nom de notre entreprise. Et comme ça, si le client doit rappeler, il ne connait pas le nom de son dernier interlocuteur, qui lui aura en plus donné une mauvaise info.
L'autre jour, il reçoit une communication pour une collègue. Celle-ci devait absolument s'absenter. Il demande à toute voix dans le service si elle peut prendre, celle-ci répond que non, elle doit aller chercher ses enfants. Il dit donc à la personne au bout du fil qu'elle est absente. L'interlocuteur demande alors quand il peut rappeler. Et là, CQP dit « tu reviens à quelle heure? » à sa collègue censée être absente, ce qui fait vite comprendre au client toujours à l'écoute qu'on lui a menti. Bien bien. Le collègue qui pue, il est comme ça. Désespérant. Et aujourd'hui, c'est moi qui me le coltine.
Quelle chance, il fait beau en plus. Avec la baie vitrée dans le dos, et malgré la tonne de déo musqué dont il se sera assaisonné, il faudra dix minutes pour que ça commence à sentir le petit oignon. L'odeur de ses sécrétions est insoutenable, et pas de bol, la fenêtre ne s'ouvre pas !
Tiens, au moment où je vous écris, il est là à côté de moi à me vanter les services de la météo. Juste avant, il s'étonnait que son ordinateur ne fonctionnait pas: il avait oublié d'allumer l'écran. Je vais passer une dure journée...


mardi 30 août 2011

Culture et confiture

« La culture, c'est comme la confiture: moins on en a, plus on l'étale »

Ce soir, c'est Secrets d'Histoire ! Ça fait trois semaines que je connais cette émission, qu'elle sait me passionner et j'apprends que ce n'est pas la première saison de ce documentaire?! En réalité, il y a déjà 42 épisodes qui sont passés à la télévision, et face à mon ignorance et mon insistance à regarder d'autres choses plus abrutissantes, j'ai loupé énormément de cet enrichissement culturel !
De Cléopâtre à Napoléon, en France ou dans le Monde, l'émission regorge de sujets mythiques que je ne saurai rattraper, puisqu'il y a là plus de 80 heures de reportage et que j'ai déjà bien du mal à débloquer 20 minutes pour regarder un Japanimé. Et pourtant j'ai envie de savoir. S'il y a bien un trait qui me caractérise, c'est cette soif de connaître.
Alors, ce soir, le sujet est Claude Monet. L'artiste. Je pense m'asseoir confortablement dans mon canapé, une bière à la main, m'abreuvant essentiellement de culture et de houblon. Si j'ai le temps, peut-être rattraperais-je du retard en visionnant un des vieux numéros? Y'a un truc sur la bête du Gévaudan qui me branche bien... A moins que je craque sur l'émission traitant d'Henri VIII? Ou mieux: Judas a-t'il trahi Jésus?

lundi 29 août 2011

Ma précieuse

Bon, à part ça, y'a personne pour me filer des tablatures de titres de John Hampson???

Et au final, ce week-end?


C'était un week-end sportif, chers lecteurs ! Alors que certains se prélassaient au soleil de La Rochelle, en écoutant des discours pleins de promesses, d'autres se faisaient des muscles en participant à des compétitions sportives ou... en travaillant sur un chantier.
C'est ainsi que ce samedi, nous étions armés de pelles et de brouettes, à l'assaut du Mont Deterre qui squatte à côté de notre projet. La végétation y était dense, nous commençâmes donc par désherber, ôtant les buissons secs, puis nous attaquions le gros tas de terre argileuse pour l'étaler progressivement derrière. Il nous aura fallu une après-midi complète pour n'en faire que la moitié, et nous ne sommes pas revenus les mains vides puisqu'elles sont désormais pleines de cales douloureuses. Mais l'avancement du chantier fait plaisir. Reste à savoir si on continue à la main ou si on négocie le passage d'un tracto-pelle.
Ce dimanche, lui, fut consacré en partie au sport télévisé, entre la Formule 1, l'athlétisme et ses fabuleuses finales, ainsi que le football sur toutes les chaines, de quoi s'occuper. Du moins, regarder le résumé, parce que les tâches domestiques n'attendent pas... Poireaux, tomates, betteraves, salades, carottes, chou... C'est bien beau d'en avoir des bio mais il faut passer le temps à les nettoyer, préparer. Marge assure sur ce coup. Difficile de s'y mettre à deux quand on n'a qu'un évier, alors j'aidais aux petites tâches mais je me sentais particulièrement inutile.
A la fin de la journée, enfin, nous pûmes nous installer devant Capital. On a appris des choses. Les sujets sont largement traités mais savent accrocher le téléspectateur. Ce n'est pas de l'économie au sens propre du terme, mais la découverte des filons des objets qu'on utilise régulièrement, ça donne l'impression de le maitriser d'autant plus. C'est de la culture populaire, mais ça compte aussi.
Vous l'aurez compris, ce week-end a été bien rempli...

samedi 27 août 2011

Retour à la terre...

Gros tas...
Pinaise, on a passé une après-midi sur le chantier à casser un tas de terre pour l'étaler derrière, à la pelle et à la brouette. Et au final, on va peut-être se "faire offrir" le passage d'un JCB... J'ai les épaules en miettes, les mains bousillées... pour rien???

mercredi 24 août 2011

K-On


Mon petit délire du moment, c'est l'animé K-On. Dès que j'ai vingt minutes devant moi, je m'installe devant ce manga pour m'aérer l'esprit. Face à un graphisme très rétro, aux décors peu soignés et au chara-design parfois bancal (la taille des mains des personnages peu surprendre), on a là affaire à un animé qui se dévore complètement. L'histoire, finalement, n'a rien d'exceptionnel non plus: Yui, une jeune fille un peu dans la lune, se voit contrainte par défaut à adhérer au club de musique de son lycée, où elle rejoint trois autres demoiselles dans l'optique de monter un groupe. Le hic: Yui ne sait pas jouer d'instrument ! C'est sur ce synopsis classique mais sûr, car inspiré indéniablement du succès de Beck, que va débuter un animé qui, vous vous en doutez, sera axé sur la musique et proposera des mélodies très sympas. Ça ne loupe pas.
J'en suis au 6ème épisode d'une saison de 12. Chacun d'entre eux me fait marrer – surtout le 3ème, aux éclats -. Simplement. Les gags sont excellents, les personnages attachants et pleins de tics rigolos, et l'histoire légère permet de s'évader sans trop se prendre la tête. On passe sur les détails de la difficulté d'apprendre la musique: on est là pour se détendre et apprécier. Pour ça, K-On est un animé qui mérite son succès au Japon. On saura s'en inspirer !

lundi 22 août 2011

Les Bleues à Arras





Je rentre tout juste du stade Degouve où elles s'entrainent, avant de jouer Mercredi contre la Pologne à Lens.