Mon petit délire du moment, c'est
l'animé K-On. Dès que j'ai vingt minutes devant moi, je m'installe
devant ce manga pour m'aérer l'esprit. Face à un graphisme très
rétro, aux décors peu soignés et au chara-design parfois bancal
(la taille des mains des personnages peu surprendre), on a là
affaire à un animé qui se dévore complètement. L'histoire,
finalement, n'a rien d'exceptionnel non plus: Yui, une jeune fille
un peu dans la lune, se voit contrainte par défaut à adhérer au
club de musique de son lycée, où elle rejoint trois autres
demoiselles dans l'optique de monter un groupe. Le hic: Yui ne sait
pas jouer d'instrument ! C'est sur ce synopsis classique mais
sûr, car inspiré indéniablement du succès de Beck, que va débuter
un animé qui, vous vous en doutez, sera axé sur la musique et
proposera des mélodies très sympas. Ça ne loupe pas.
J'en suis au 6ème épisode d'une
saison de 12. Chacun d'entre eux me fait marrer – surtout le 3ème,
aux éclats -. Simplement. Les gags sont excellents, les personnages
attachants et pleins de tics rigolos, et l'histoire légère permet
de s'évader sans trop se prendre la tête. On passe sur les détails
de la difficulté d'apprendre la musique: on est là pour se détendre
et apprécier. Pour ça, K-On est un animé qui mérite son succès
au Japon. On saura s'en inspirer !
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