Un jour j'ai lu que le Dr House était le pendant moderne de Sherlock Holmes. Peut-être que cela explique mon attrait vers ce personnage? En tout cas, ce soir, dans l'épisode 13 de la saison 7..., j'ai pu apercevoir subrepticement cette image, en forme de clin d'oeil, qui m'a ravi !
lundi 31 octobre 2011
jeudi 27 octobre 2011
Râleur du service
Certaines personnes ont une rancœur
tenace et parfois mal placée. Je vais tenter de m'expliquer
clairement: au boulot, on est payé suivant des grilles de salaires.
Au sein de chaque métier, il y a trois niveaux, qu'on franchit
conventionnellement au delà d'une durée déterminée. Par exemple,
on passe de niveau 1 à 2 au bout de trois ans dans le métier A. Ok?
Il y a aussi la possibilité d'obtenir
des points d'évolution, équivalent à une augmentation, allant de 3
à 10 points, qui récompensent un peu le travail fourni ou qui
satisfont les râleurs. Ceux-ci tombent deux fois par an, coup-ci
coup-ça.
Ce mois-ci, je suis passé niveau 2
dans mon métier. Considérons, vu mon « grade » ,
que je suis métier B. Eh bien, ce collègue dont je vous parlais ici, n'a pas manqué de faire la gueule toute la journée de ma
promotion, et de m'asséner ce matin un pic de bienvenue, prétextant
que « certains ne méritent pas leur promo ». J'en
conviens, ce n'est pas du mérite, mais conventionnel. J'insiste. Et
perso, je préférerais avoir des points d'évolution. Et ce collègue
se permet de critiquer alors que lui, cette promo, il l'aura dans son
métier A l'an prochain ! Et qu'il a déjà été gâté en points
d'évolution, au point que d'un grade inférieur, il gagne un salaire
plus élevé que le mien en étant entré dans ma boite un an après
moi! La jalousie reste mystérieuse. Ce type possède une situation
professionnelle stable, un salaire correct, a une maison, une vie de
famille, un certain confort, mais il arrive à se plaindre et à nous
jalouser, moi, ma vie et ses tracas.
J'ai déjà essayé de lui dire de
cesser ça, il prétend que c'est pour déconner mais je sens bien
qu'il fuit le débat.
Bon, certes, il a pas d'amis. Ni de
blog. Et il n'a pas mangé le délicieux gâteau aux noix que Marge
m'a concocté hier après-midi. Mais ça n'explique pas tout.
lundi 24 octobre 2011
Mon week-end à ma maman
Ma maman va surement se demander
comment j'ai occupé mon week-end, et comme elle lit mes blogs, je
lui passe le coucou ! Salut maman ! Tu sais quoi, ce week-end, je
n'ai pas eu mon quota de sommeil: entre une sortie matinale et
trèèèès fraiche au marché, une après-midi à Lille chez des
amis, un début de soirée sur la Grand'Place et une soirée tardive
chez d'autres amis, samedi fut une journée bien remplie ! On est
rentrés vers trois heures...
Ne fais pas de raclette la prochaine
fois qu'on vient, au fait.
Et dimanche, impossible pour moi, qui
n'aime pas plus le rugby que ça, de louper la finale de la Coupe du
Monde. Je ne pige pas grand chose aux règles mais c'est un spectacle
impressionnant. Des bœufs en collision ! Et une défaite pour la
France... bon, tant pis. On a pas forcément trainé non plus, pour
aller avec un réservoir vide chez le bof pour l'anniversaire de son
ainée. La gâteau était succulent, l'ambiance sympa mais très
bruyante, et au final on ne s'est pas ennuyé. Et comme tout
anniversaire, il s'est fini bien tard. Imagine ma tronche ce matin,
pour aller bosser. Mais bon, on restera pas jeunes toute notre vie,
hein ! On se voit bientôt ! @+ !
![]() |
Poubelles customisées pour Gaël ! |
mardi 18 octobre 2011
L'eau, ça n'a pas le même goût avec du pastis
C'est dans l'après-midi que ça a
commencé. D'abord, un appel anonyme, avec une interlocutrice qui
demande à Marge si un technicien conseil peut passer vérifier la
qualité de l'eau. En mon absence, Marge refuse. La dame au bout du
fil explique que l'eau à Arras n'est pas d'excellente qualité, ce
qu'on avait remarqué, et que leur technicien viendrait la vérifier
à notre logement quand « monsieur sera là ». Mais
impérativement, il faut que nous soyons là tous les deux ! Marge
explique que je finis vers 17h, l'interlocutrice précise que le
technicien rappellera pour confirmer un rendez-vous demain en fin
d'après-midi. Marge réplique qu'il faudra voir avec moi.
Sachant que je rentre vers 17h, et que
le coup de fil a eu lieu vers 14h... pourriez-vous m'expliquer
pourquoi cette société, que je connais comme une arnaque pour
vendre des filtres à eau, a tenté de me joindre 15 fois en trois
heures? Marge, énervée, ne décrocha point, et c'est quand je
rentrais et qu'elle m'expliquais la situation que je me rappelais
avoir eu affaire à ce genre de boite l'an passé.
Soudain, le téléphone sonne. Numéro
anonyme.
« Allo?
_ Allo monsieur Homer? Société Untel,
on s'occupe de la qualité de l'eau et on vous appelle pour confirmer
le rendez-vous. Donc demain, à 17h30 en votre domicile.
_ Non, je crois pas. Je sais ce que
vous faîtes. C'est vous qui avez appelé 15 fois cet aprem? C'est
pas un peu du harcèlement?
_ (Rires) euh non. Donc on est d'accord
pour demain.
_ Pas du tout. Ce n'est pas ma femme
qui décide si un gars passe chez moi ou non (#mode gros macho). Donc
je ne veux voir personne.
_ Mais c'est gratuit monsieur.
_ Bein voyez avec Veolia, c'est eux qui
distribuent. L'eau devant l'immeuble est la même que celle dans mon
appart. J'en ai rien à faire de la « qualité », je suis
plus là pour longtemps. Au revoir. »
J'ai raccroché. J'ai horreur du
démarchage. Ils ont pas intérêt à se pointer, je vous le dis.
mercredi 12 octobre 2011
Plein la vue !
Hier, c'était le traditionnel
rendez-vous chez l'ophtalmo. Ici, à Arras, je les prends avec deux
ans d'avance pour être sûr d'avoir une place. Et depuis quelques
temps, je vais dans un cabinet qui regroupe trois spécialistes.
Je savais que ma vue n'avait pas
baissé. Je n'avais aucun symptôme, ma vision lentilles à l'œil
était parfaite, et j'avais donc l'impression de perdre mon temps. Et
à mon arrivée, pile à l'heure, la secrétaire m'accueillit d'un
froid bonjour, les dents serrées. Je luis expliquait avoir
rendez-vous avec le Dr C. Elle me répondit: « Ah bon? Mais le
Docteur C. a fini ses consultations en début d'après-midi, il est
reparti » « Bah va falloir qu'il revienne, répondis-je,
parce que j'ai un carton qui atteste du rendez-vous ». Un peu
bêbête, la secrétaire tapota sur son ordinateur. Visiblement, un
peu perdue. Elle me dit que c'était arrangé, mais que c'était le
docteur L. qui allait me recevoir. « Ouais mais bon, j'ai
demandé le docteur C., c'est peut-être que je voulais pas passer
avec le docteur L. »
« Ne vous inquiétez pas, il est
très bien, ça va aller ». Je vais t'en fiche du « il
est très bien », connasse. Je l'ai eu l'an passé, je sais
comment il fait, c'est l'usine et il enchaine !
Je passe dans le couloir d'attente.
C'est une salle d'attente, mais dans un couloir. Plein de petits
vieux qui, bien qu'à la retraite, ne peuvent prendre rendez-vous
qu'en fin d'après-midi, en même temps que les actifs. Il me faudra
attendre une heure de plus pour que le médecin me reçoive, sans
excuse pour le retard imposé, comme d'hab.
Arrivé là, il me fait asseoir sur un
fauteuil, me montre des lettres DE PLUS EN PLUS PETITES mais que
j'arrive à lire quand même, et me fait payer 28 euros (non, je ne
dirais pas qu'il passe 60 patients par jour au minimum à ce prix, et
non, je ne calculerais pas ses revenus approximatifs). Au revoir.
C'est fait. J'ai une ordonnance. Le rendez-vous s'est passé
tellement vite que je n'ai pas eu le temps de lui faire remarquer
qu'il n'avait pratiqué aucun examen de contrôle: pas de prise de
tension de l'œil, ni de vision du fond, rien. Si on me découvre un
truc l'an prochain, je devrais le poursuivre en justice!
C'est vrai quoi, s'il n'est pas capable
d'absorber le flux de ses rendez-vous – je conçois qu'on puisse
prendre du retard avec des urgences -, et bien qu'il en prenne moins
et qu'il soit un peu plus consciencieux, non? Bon allez, je règle le
problème, l'an prochain, je change d'ophtalmo !
samedi 8 octobre 2011
vendredi 7 octobre 2011
Les amis, les amours... et c'est tout !
Quel bordel au retour de Lille hier
soir. Il avait beau être une heure du matin, les travaux effectués
pour la construction du Grand Stade nécessitent énormément de
balisage, et sans éclairage, toutes les bornes se ressemblent. Du
coup, j'avoue avoir tourné parfois là où il ne fallait pas pour
retrouver ma route. Ce qui me rassure, c'est que je n'étais pas le
seul: la plupart des gens qui, comme moi, cherchaient à rattraper
l'A1, ont pris le même chemin à rallonge. Quelle idée de me suivre
!
Cette aventure ponctuait une fête
d'anniversaire surprise, improvisée, à laquelle j'ai pu passer du
bon temps avec des amis de toujours. L'accueil est toujours aussi
chaleureux, la surprise surprenante (hein Mumule?)le groupe toujours
aussi riche en anecdotes, et bientôt, l'arrivée d'un petit
« Poulou » viendra changer la vie de ses parents et le
rythme de nos rencontres. Passer du temps avec eux, c'est toujours
rassurant. Se savoir faire partie d'un tout, plein d'électrons
libres, peut paraître contradictoire. Et pourtant, voilà plus de 20
ans qu'on est aussi soudés. On se marre toujours autant. C'est beau,
l'amitié et autour d'un Chateauneuf du Pape 2001, c'est encore
mieux!
mardi 4 octobre 2011
Un an après: La nouvelle poubelle
Eh! Je vous
l'avais pas dit? On a de nouvelles poubelles ! Ça s'arrose !
Ils ont profité
que j'étais en congés pour passer: la communauté de communes m'a
réveillé de bon matin vers dix heures. Étrangement, ils ne
semblent avoir sonné qu'à mon appartement. La proprio leur a
certainement dit quel bon voisin j'étais. Ceci étant, je suis
descendu les accueillir et ils m'ont annoncé la bonne nouvelle. Deux
heures plus tard, nous étions livrés d'un magnifique container de
320 litres qui fera le bonheur de notre immeuble. La vie est belle,
hein?
Bon, il y a un voisin qui a eu la bonne idée de marquer le numéro de l'adresse sur les poubelles... si si, bonne idée. Sauf qu'il l'a fait en peinture argentée, des chiffres de la taille d'un parpaing. Pas beau.
lundi 3 octobre 2011
Sortie à Amiens
Le parvis de la cathédrale |
Avec un tel
soleil, impossible de ne pas profiter des vacances pour découvrir
une nouvelle ville. Après Gand, Bruges ou Bruxelles, après Bergues, direction la Picardie et la ville d'Amiens, son patrimoine et
ses richesses culturelles. A à peine une heure de route, la ville
est facile d'accès, et le stationnement aisé. Inévitablement, nous
avons cherché la fraicheur au sein de la Cathédrale, une des plus
belles de France, dans laquelle on peut voir de magnifiques vitraux,
des gravures uniques, des statues – qui ornent le porche, notamment
– splendides et même la relique du crâne de St Jean-Baptiste qui
est exposée là.
Puis, un circuit
facile qui consiste à faire le tour de la ville par les boulevards,
grossièrement, nous a emmené vers le Beffroi, assez... spécial,
puis l'hôtel de ville, et la maison de Jules Verne, en passant par
le cirque du même nom. Enfin, un rapide retour devant la Tour Perret
nous rappela qu'on était bien à Amiens, et nous nous rendîmes dans
le quartier St Leu, réputé pour ses restos au fil de l'eau, et un
grand parc qui le jouxte avant d'atteindre les Hortillonnages.
L'après-midi fut
agréable, bien que pesant sous un soleil de plomb. En arrière
saison, le touriste que j'étais admirait la vie réelle dans une
ville de la Somme qui évoluait à son rythme naturel, sans faux
semblant. J'étais somme une ombre à Amiens. Et au dessus de moi,
elle rayonnait.
Chaque sculpture est unique |
les volumes en font la plus grande de France |
Le Beffroi, tout seul |
Intérieur de la cour de la maison de Jules Verne |
La tour Perret est un monument classé ! |
Le Quai St Leu, célèbre pour ses restaurants |
La vue sur le clocher de la Cathédrale vaut le détour |
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